Catastrophe, par Fo’o sokoudjou Mpoda

Catastrophe, par Fo’o sokoudjou Mpoda

Tu simplifies comme quelqu’un sort dedans pour aller rire et en rentrant il est devenu que cadavre !!!

Que c’est comme ça quelle qualité de malédiction sur nos têtes jusqu’à ça part pour nous porter ça ne laisse même pas la route pour respirer ?

Donc c’est comme ça, les grandes personnes étaient tous parties jusqu’a les qualités de choses ci sortent sur nous comme ça on manque nos parts de personnes qui vont dire arrêtons-nous un peu pour chercher ce qui se passe ? C’est quoi que nous on avait trompés à dieu jusqu’à il part pour nous taper il nous tape que la qualité ci que nous voyons !!

Donc comme ça la quantité de personnes ci qui sont partis en un enfant de temps sans programmer est si petit jusqu’à nous ne pouvons pas donner leur part de 2 jours pour les pleurer jusqu’a les villages voient que ça nous a menacés sur un mauvais endroit ? On ramasse les choses on ne fait qu’entasser comme ça qu’on parlera comment jusqu’à sortir sur ça ? Rien n’est à vous jusqu’à c’est quelque chose. C’est quand ça sera quoi ou qui que nous allons faire quoi ? La quantité des gens ci qui sont partis en une semaine comme c’est petit pour une qualité de chose qu’on peut manger l’intérêt sur ça pour déposer le tam-tam du deuil des gens qui étaient partis personne ne les a jamais pleurés dans la cour ? N’importe qui vole comme ça le légume sur son propre couscous. Même quand il restera une seule personne, il déposera le tam-tam du deuil dans la cour jusqu’à on tourne le deuil avant que les enfants des enfants de nos enfants voient la route pour dormir le sommeil.

Regardez comment un village se perd !!! Oui je vais même me fâcher de vous que vous avez porté quoi a moi ? Que vous comprenez même la souffrance ci que les gens sont en train de voir dehors ? Est-ce que quelque chose a attaqué votre chaise jusqu’à vous aller vous gratter le corps ? Je pleure seulement la tête du peuple ci qu’on avait jette que vous restez regarder.

C’était vraiment la vérité qu’un enfant en pleurant la famine l’autre pleurait qu’il est trop rassasié. Tu simplifies comme en venant encore aujourd’hui, le peuple de quelqu’un est dehors pour boire le torrent, ils sont dans les maisons en train de mourir comme les enfants des poules parce qu’ils manquent un grain de remède, les enfants des écoles sont dans la maison de l’école ils s’asseyent sur leurs pieds pour écrire, alors que vous êtes dedans vous portez un fagot de banc dans une bouteille de vin pour verser dans vos ventres que si le peuple doit se pendre il part se pendre maintenant comme vous étiez déjà partis jusqu’à arrivés. Vous travaillez la quantité ci comme ça jusqu’a le chef comprend même ? C’est Dieu qui saura ouvrir votre travail.

En passant pour le voleur, il faut aussi passer pour le vampire. La tête de quelqu’un n’est pas la tête de l’enfant de bananier. Il faut esquiver sur ta tête avant que ça t’arrête. Tu chassais quoi jusqu’à voilà que tu as payé avec ta tête ? Si la mouche esquive les brindilles de balai, elle va grandir.

Porter que comme nous portons-la jusqu’à compter qu’on peut dormir le sommeil un jour, je compte je vois que mal. La quantité qui est d’abord sur nos têtes n’est pas petite pour que nous cherchions encore d’autres.

En demandant à dieu qu’il couvre notre village, mettons la vérité dans ce que nous disons parce que dieu est comme le sommeil, on ne le trompe pas. Jusqu’au jour où le dieu de mes ancêtres va dire que ma quantité ci suffit, je ne vais pas me fatiguer de lancer les mains a vous pour la tête de notre village

Je lance les mains à ceux qui arrêtent le village qu’en partant ils regardent derrière et comprennent la voix du peuple. Vous arrêtez seulement le village ce n’est pas votre village et demain vous allez aussi envoyez comme on avait envoyé à vous. C’est une mauvaise chose jusqu’à on part au marigot jeter si la flamme s’éteint entre vos mains.

Je lance les mains au peuple que quand quelqu’un tombe dans le trou, il ne prend pas la couverture pour jeter sur sa tête. Il essaie de sortir du trou avant de ne pas voir la bouche du trou. Le village de quelqu’un n’est pas 2.

Cogner les reins de quelqu’un, ce n’est pas la solution. Dieu a déjà mis toute qualité dans la tête jusqu’à nous pouvons lancer une guerre et gagner sans cogner quelqu’un par terre.

Je travaille comme ça ma part de travail que les dieux de mes ancêtres m’avaient envoyé travailler. Même parler avant que vous ne compreniez pas, même parler avant d’autres ramasse les cailloux pour me chercher mais que j’ai fait ma part. Les abeilles parties boire le vin de raphia ne rentrent jamais toutes. Si chacun se débrouille à travailler sa part que Dieu avait donnée sait que la sauce du taro sera bonne à manger.

Que les dieux de nos ancêtres veillent sur le village, qu’ils donnent à chacun de laver son cœur et qu’ils éteignent une quantité de mauvaises choses ci qui entre sur nos têtes.

Fo’o sokoudjou Mpoda

Source: https://www.facebook.com

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