Me Akere Muna : un expert en gouvernance qui prône des solutions concrètes pour le Cameroun

Me Akere Muna, avocat camerounais et militant pour la bonne gouvernance, a récemment donné une interview sur le déploiement de personnes compétentes au Cameroun. Dans ses propos, il souligne que malgré la présence de nombreux talents dans le pays, ceux-ci ne sont pas suffisamment exploités, notamment en raison de la corruption et d’un manque de volonté politique.

Me Muna plaide pour une gouvernance responsable, qui mette l’accent sur les besoins du peuple, en particulier dans les secteurs de la santé, de la justice et de l’éducation. Selon lui, ces secteurs touchent tous les citoyens, des plus pauvres aux plus riches, et sont donc essentiels pour assurer une société juste et équitable.

Dans cet article de blog, nous allons approfondir les idées exprimées par Me Muna et explorer les raisons pour lesquelles le déploiement de talents au Cameroun est si important pour le développement du pays. Nous examinerons également les obstacles qui se dressent sur le chemin de ceux qui cherchent à faire une différence et comment ils peuvent être surmontés.

Dans l’ensemble, nous espérons montrer que le développement de personnes compétentes et la promotion de la bonne gouvernance sont des éléments clés pour l’avenir du Cameroun et de tous les pays en développement.

Me Akere Muna
Me Akere Muna

Le rôle crucial de la presse dans la gouvernance démocratique

Le meurtre du journaliste Samuel Wazizi, survenu en août 2019, a provoqué une onde de choc dans l’opinion publique camerounaise. Le manque de transparence et l’absence d’informations claires autour de cette affaire ont suscité un émoi général, poussant de nombreux journalistes et défenseurs des droits de l’homme à dénoncer les violations des libertés fondamentales dans le pays.

Dans une interview récente, Me Akere Muna, avocat et ancien bâtonnier du Cameroun, a souligné l’importance de la presse dans la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance. Selon lui, la presse joue un rôle crucial dans la lutte contre l’opacité et la corruption, et doit être encouragée à poursuivre son travail d’investigation et de sensibilisation.

En effet, la presse est souvent le seul moyen pour la population de connaître la vérité sur les actions et les décisions du gouvernement. Elle doit être libre de mener ses enquêtes sans subir de pressions ou d’intimidations. Les journalistes doivent également être protégés contre les violences et les menaces qui visent à les dissuader de révéler des informations sensibles.

Me Akere Muna insiste sur le fait que le journalisme d’investigation est essentiel pour la promotion de la transparence et la lutte contre la corruption. Il encourage donc les journalistes à poursuivre leur travail malgré les risques et les difficultés auxquels ils font face.

Dans le contexte actuel du Cameroun, marqué par des incertitudes politiques et des craintes pour la transition, il est crucial que la presse joue pleinement son rôle de garante de la démocratie. Les citoyens doivent pouvoir compter sur elle pour être informés de manière transparente et impartiale sur les événements en cours dans le pays.

En conclusion, le meurtre de Samuel Wazizi a rappelé l’importance cruciale de la presse pour la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance. Les autorités doivent garantir la liberté de la presse et protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier. Les journalistes, quant à eux, doivent poursuivre leur travail d’investigation et de sensibilisation, en dépit des difficultés et des risques qu’ils rencontrent. La presse est un acteur indispensable de la démocratie, qui doit être soutenue et encouragée dans ses actions.

L’importance de la transparence dans la lutte contre la corruption au Cameroun

Me Akere Muna est un avocat et militant politique camerounais bien connu pour son travail acharné contre la corruption. Dans une interview récente, il a discuté de l’importance de la transparence dans la lutte contre la corruption au Cameroun.

Me Muna a expliqué que la cupidité et la corruption sont les principales raisons de la détérioration du Cameroun, mais que l’internet et les médias sociaux ont changé la donne. Aujourd’hui, il est beaucoup plus difficile de cacher des informations, et la transparence est plus importante que jamais.

Me Muna a donné un exemple concret de l’importance de la transparence dans la construction d’échangeurs routiers dans le pays. Les entrepreneurs avaient commencé la construction de l’échangeur au mauvais endroit, mais plutôt que de le casser et de le reconstruire, ils ont laissé la structure en place. Des années plus tard, cette erreur a finalement été découverte, et le gouvernement a dû dépenser beaucoup d’argent pour corriger le problème.

Me Muna a souligné que c’est ce manque de transparence qui a permis cette erreur, et que si les citoyens avaient été informés de la situation dès le début, il aurait été plus facile de la corriger. Cet exemple montre l’importance de la transparence dans la lutte contre la corruption, même dans des situations apparemment mineures.

Mais la corruption ne se limite pas à des erreurs de construction. Au Cameroun, il y a également une lutte de pouvoir qui se dessine entre différents clans politiques. Me Muna a expliqué que cette lutte est exacerbée par l’absence de processus de succession clairs et démocratiques. Lorsque les dirigeants ne sont pas clairs sur leur propre succession, les différentes factions politiques peuvent se battre pour le pouvoir, ce qui crée un environnement propice à la corruption.

Me Muna a souligné que la transparence est la clé pour éviter que cette lutte de pouvoir ne se transforme en corruption. Lorsque les citoyens ont accès à des informations claires et précises sur la gouvernance et la gestion de leur pays, ils peuvent mieux comprendre les enjeux politiques et économiques et prendre des décisions éclairées. Les médias indépendants jouent également un rôle crucial en enquêtant sur les pratiques corrompues et en les exposant au grand public.

En fin de compte, la lutte contre la corruption est un travail de longue haleine qui nécessite un engagement constant. Mais la transparence est un outil puissant dans cette lutte, et il est important que les citoyens, les médias et les gouvernements travaillent ensemble pour promouvoir la transparence et la responsabilité dans tous les aspects de la vie publique.

La candidature de Me Akere Muna en 2018 : un engagement pour la bonne gouvernance

Me Akere Muna est une figure politique de premier plan au Cameroun, qui a lutté contre la corruption et la mauvaise gouvernance depuis les années 90. Dans une interview récente, il a été interrogé sur la question de savoir comment il pouvait être un opposant alors que son père, Salomon Tande Mouna, avait été un haut fonctionnaire sous le régime en place. Voici un aperçu de sa réponse, ainsi que de ses opinions sur la politique et la famille.

Me Akere Muna a répondu à la question en expliquant que sa famille était de libre-penseur et qu’il n’avait jamais été obligé de choisir un parti politique. Il a souligné que son père avait même empêché lui et son frère de se constituer en partie politique, estimant qu’ils devaient travailler pour réussir par eux-mêmes. Me Muna a déclaré que cela expliquait pourquoi il avait choisi d’être membre du Social Democratic Front (SDF) dans les années 90, mais que cela ne signifiait pas qu’il était limité à ce parti pour le reste de sa vie.

Me Muna a souligné que son choix politique était basé sur ses convictions et sur ce qu’il croyait être le meilleur pour le pays, plutôt que sur des considérations familiales ou partisanes. Il a noté qu’il avait commencé à lutter contre la corruption et la mauvaise gouvernance dans les années 90, bien avant que cela ne devienne un sujet d’actualité.

Interrogé sur la relation avec sa sœur, qui est membre très actif du parti au pouvoir, Me Muna a répondu que cela ne posait pas de problème. Il a souligné que la relation était basée sur le respect mutuel et la liberté de choix, et que la famille avait toujours été de libre-penseur.

Me Muna a également abordé la question de savoir s’il était possible d’avoir une discussion politique en famille sans que cela ne dégénère en conflit. Il a répondu en disant que c’était possible, mais que cela dépendait de la manière dont la discussion était menée. Il a souligné que les gens devraient être en mesure d’exprimer leur opinion librement, sans que cela ne conduise à des conflits ou à des divisions familiales.

En fin de compte, Me Akere Muna est un homme politique indépendant et engagé, qui a choisi de se battre pour la bonne gouvernance et contre la corruption. Sa réponse à la question de savoir comment il pouvait être un opposant malgré les liens de sa famille avec le régime en place est un témoignage de sa conviction personnelle et de son engagement à poursuivre son combat pour le bien de son pays.

Akere Muna : Son retrait de la course présidentielle et sa vision politique

Akere Muna est un célèbre avocat et homme politique camerounais. Dans une interview accordée à un média camerounais, il est revenu sur les raisons de son retrait de la course à la présidentielle de 2018. Il a également partagé sa vision politique pour le Cameroun.

Akere Muna a déclaré que son retrait de la course à la présidentielle de 2018 était motivé par sa conviction qu’il fallait montrer l’exemple en demandant aux autres de se retirer pour un candidat unique. En demandant à Maurice Kamto de se retirer à sa faveur, il a voulu montrer que ce qu’il demande aux autres, il peut le faire lui-même.

Il a également souligné que faire cavalier seul ne mène nulle part. Il a réalisé que les Camerounais ne le connaissent que comme un activiste dans la lutte contre la corruption et non comme un homme politique. Il a donc décidé de se retirer pour encourager les Camerounais à rejoindre un mouvement citoyen pour la bonne gouvernance et pour inciter les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales.

Selon lui, le problème de la politique au Cameroun réside dans le manque de crédibilité des leaders politiques actuels. Il considère que les personnes crédibles comme les avocats, les journalistes et les médecins ne sont pas suffisamment impliquées en politique. Il estime que les gens doivent savoir que leur inscription sur les listes électorales est essentielle pour faire changer les choses.

Il a également évoqué le casse-tête des inscriptions sur les listes électorales et la nécessité d’avoir une action concertée de partis politiques qui ne souhaitent pas de candidat unique. Akere Muna a ajouté que le Sénat et le Conseil peuvent donner naissance à une institution capable d’impacter positivement la vie des citoyens.

En conclusion, Akere Muna appelle les Camerounais à se mobiliser pour la bonne gouvernance du pays et à rejoindre un mouvement citoyen pour faire bouger les choses. Il insiste sur la nécessité d’avoir des leaders crédibles et sur l’importance de l’inscription sur les listes électorales pour changer les choses. Il est convaincu que le Cameroun peut devenir un pays prospère s’il est gouverné de manière juste et équitable.

La crise anglophone au Cameroun : quelles solutions ?

La crise anglophone qui secoue le Cameroun depuis plusieurs années est un véritable défi pour la justice et les défenseurs des droits de l’homme. Pour Me Akere Muna, fervent défenseur des droits de l’homme, la solution à cette crise réside dans une approche holistique qui prend en compte tous les problèmes politiques et sociaux auxquels le pays est confronté.

Selon Me Muna, la crise anglophone ne pourra être résolue tant que le Cameroun n’aura pas réglé ses problèmes politiques, tels que la corruption, les fraudes, les problèmes de gouvernance, la décentralisation et le statut spécial des régions anglophones. Pour lui, le dialogue national qui avait eu lieu n’a pas abouti à des solutions concrètes, et il est urgent de repenser le système politique du pays.

Me Muna souligne également que la liberté d’expression n’est pas effective au Cameroun, en particulier dans le contexte actuel de la crise anglophone. Les présumés coupables de l’assassinat de Martinez Zogo sont jugés différemment selon leur rang social, ce qui est inacceptable dans un État de droit. Pour que la justice triomphe efficacement, il est important que tous les prévenus soient traités de manière équitable.

En ce qui concerne sa position personnelle sur la crise anglophone, Me Muna explique qu’il est engagé dans la recherche de solutions, mais qu’il ne se rend pas sur le terrain car il juge la situation trop dangereuse. Il travaille en collaboration avec l’Association des anciens chefs d’État africains pour trouver des solutions, et a participé au processus Suisse de médiation. Il estime que le Cameroun est confronté à une impasse politique et qu’une solution holistique est nécessaire pour sortir de cette crise.

Enfin, Me Muna souligne que l’application des textes constitutionnels et des conventions internationales est insuffisante au Cameroun, en particulier en ce qui concerne la déclaration de biens des responsables politiques. Il appelle à une exigence accrue de transparence pour lutter contre la corruption et l’enrichissement illicite.

En somme, pour résoudre la crise anglophone, le Cameroun doit régler ses problèmes politiques et sociaux de manière holistique, en assurant l’égalité devant la justice, en favorisant la transparence et en appliquant les conventions internationales. Seule une approche globale pourra permettre de sortir de l’impasse politique actuelle et de garantir un avenir meilleur pour tous les Camerounais.

Me Akere Muna : Lutter contre la corruption pour construire un Cameroun meilleur

La corruption est un problème majeur qui affecte de nombreux pays, notamment le Cameroun. Malgré les efforts déployés pour lutter contre cette pratique, elle continue de sévir et de causer de graves préjudices à l’économie et à la société dans son ensemble. Dans une interview récente, Me Akere Muna, avocat et ancien vice-président de Transparency International, a abordé cette question et a souligné la nécessité de s’attaquer à ce fléau pour construire un Cameroun meilleur.

Selon Me Muna, la corruption est devenue un phénomène systémique au Cameroun, ce qui signifie qu’elle est profondément enracinée dans le fonctionnement de l’État et de la société. Les gens ont tendance à penser que la corruption est acceptable ou inévitable, ce qui rend difficile de la combattre efficacement. Toutefois, Me Muna estime que la population camerounaise commence à prendre conscience de la gravité de cette situation et qu’elle est prête à agir pour la corriger.

Me Muna rappelle que le Cameroun a été classé 142ème sur 180 pays dans le dernier rapport de Transparency International sur la corruption. Bien qu’il y ait eu des améliorations au fil des ans, le pays a connu une chute dans le classement de 2021 à 2022, ce qui montre que la corruption continue de résister malgré les efforts pour la combattre. Me Muna souligne également que la corruption est un obstacle majeur au développement économique du Cameroun, car elle décourage les investissements étrangers et crée un environnement d’incertitude qui nuit aux entreprises et aux citoyens.

Le gouvernement doit jouer un rôle clé dans la lutte contre la corruption, en adoptant des lois et des politiques qui créent un environnement plus transparent et en punissant les personnes qui se livrent à des pratiques corrompues. Toutefois, Me Muna insiste sur le fait que la population doit également participer activement à cette lutte en dénonçant les actes de corruption qu’elle rencontre dans la vie quotidienne. La solidarité et la fraternité africaines peuvent également jouer un rôle important en aidant les personnes à se soutenir mutuellement et à lutter ensemble contre la corruption.

En fin de compte, la lutte contre la corruption est essentielle pour la construction d’un Cameroun meilleur. Me Muna appelle les citoyens à s’engager dans cette lutte et à travailler ensemble pour construire un avenir plus juste et plus prospère pour tous. Il est temps de mettre fin à la corruption et de construire un pays où les valeurs de transparence, d’éthique et de bonne gouvernance prévalent.

Les défis de la gouvernance au Cameroun : une analyse de Me Akere Muna

La gouvernance, la santé, la justice et l’éducation, ces quatre secteurs ont été au cœur de la candidature de Me Akere Muna en 2018. Pour lui, la bonne gouvernance est la solution aux nombreux défis auxquels le Cameroun est confronté.

Dans cet entretien diffusé sur le plateau de « 90 minutes pour convaincre », Me Akere Muna s’interroge sur la difficulté pour un pays aussi riche en talents que le Cameroun de les mobiliser et les exploiter. Il est vrai que le pays regorge de compétences avérées, mais la question est de savoir comment les mettre à profit.

La solution, selon Me Muna, réside dans une gouvernance efficace, capable de créer les conditions nécessaires pour que les talents puissent s’exprimer et contribuer au développement du pays. Pour cela, il faut se concentrer sur trois secteurs prioritaires : la santé, la justice et l’éducation. Ce sont des domaines qui touchent à la vie quotidienne des Camerounais, qu’ils soient riches ou pauvres.

Me Muna rappelle que Dieu a enseigné, guéri et jugé. Ces trois domaines sont donc fondamentaux pour le développement d’une société équilibrée. Il insiste sur le fait que la gouvernance doit être centrée sur les besoins des plus démunis, car c’est le signe de la qualité d’un pays. Il est essentiel que les pauvres soient traités avec dignité et respect, ce qui n’est pas toujours le cas dans notre pays.

Le travail effectué par Me Akere Muna sur la gouvernance a été peaufiné et distribué, mais cela n’a pas suffi à le faire élire président de la République. Pour lui, ce qui importe, c’est d’être reconnu comme le candidat de la bonne gouvernance, et cela ne s’arrête pas après les élections. C’est un travail de longue haleine qui doit être mené en permanence pour que les talents puissent s’exprimer et contribuer au développement du pays.

Me Akere Muna est un exemple de talent qui a réussi à se déployer dans différents secteurs, que ce soit en tant qu’avocat, écrivain, ou encore militant politique. Il est important que d’autres talents puissent suivre son exemple, mais pour cela, il faut une gouvernance efficace qui crée les conditions favorables.

En fin de compte, la question de l’exploitation des talents est cruciale pour le développement du Cameroun. Il est important que les talents soient reconnus et encouragés, car ce sont eux qui peuvent contribuer au développement du pays. Il faut donc poursuivre le travail engagé par Me Akere Muna pour une gouvernance efficace et centrée sur les besoins des plus démunis. C’est une entreprise de longue haleine, mais c’est la seule voie pour un développement durable et équitable du Cameroun.

Conclusion

L’interview de Me Akere Muna a mis en lumière un aspect important de la gouvernance au Cameroun : le manque de déploiement de personnes compétentes dans les différents secteurs du pays. Selon lui, cela est en grande partie dû à la culture du favoritisme et de la corruption qui prévaut dans le pays.

Malgré cela, Me Akere Muna reste optimiste quant à l’avenir du Cameroun. Il est convaincu que la bonne gouvernance est la clé du développement et que cela passe par l’amélioration de la santé, de la justice et de l’éducation, des secteurs qui touchent directement les plus pauvres.

Il appelle donc les Camerounais à s’engager pour le changement en participant activement à la vie politique du pays et en faisant preuve de citoyenneté. Pour lui, c’est en travaillant ensemble que les Camerounais pourront faire du Cameroun un pays émergent et prospère.

Enfin, il souligne l’importance de la formation et de l’éducation pour permettre aux jeunes Camerounais de développer leurs compétences et de contribuer au développement du pays. Il est convaincu que les talents sont présents au Cameroun, mais qu’ils ont besoin d’être encouragés et soutenus pour pouvoir s’épanouir.

En somme, l’interview de Me Akere Muna nous invite à réfléchir sur la gouvernance et le développement du Cameroun, mais surtout à agir pour le changement. Il est temps que les Camerounais prennent leur destin en main et travaillent ensemble pour un avenir meilleur.

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