Le Dr Aristide Mono a récemment donné une interview dans laquelle il a abordé la question des crimes de nature similaire. Selon le Dr Mono, le silence total autour de ces crimes est une rébellion de notre passé. Aujourd’hui, nous présentons les exécuteurs, mais ce que l’opinion publique attend, c’est que nous découvrions enfin les commanditaires. Ce ne serait pas difficile si nous avions une logique effective pour ne plus jamais voir ce genre de crimes se produire à nouveau.
Le Dr Mono évoque le cas de Martinez Zogo, un règlement de comptes qui ressemble à d’autres cas observés depuis des décennies. Il souligne que le problème actuel est de savoir si nous aurons un État qui sortira de sa routine d’opacité totale pour nous présenter les commanditaires. Le Dr Mono met en doute cette démarche en raison du manque de transparence et de communication de la police et du ministre de la Communication.
En outre, le Dr Mono critique la danse macabre qui s’organise autour de la dépouille de Martinez Zogo. Il estime que les autorités ont une lourde responsabilité de protéger et de rassurer l’opinion publique, mais ils ne le font pas adéquatement. Au lieu de cela, ils se disputent la priorité de la parole et revendiquent la supériorité sur les autres autorités.
Le Dr Mono souligne également une autre danse macabre qui vise à créer de la confusion autour de l’authenticité du corps de Martinez Zogo. Il estime que les personnes qui prétendent que l’État n’a pas les moyens de mobiliser 50 000 francs CFA pour faire des tests sont en train de détourner l’attention.
En conclusion, le Dr Mono appelle à une action concrète pour découvrir les commanditaires de crimes de nature similaire et met en garde contre les danses macabres qui visent à détourner l’attention. Il est temps que les autorités fassent leur travail et protègent l’opinion publique en apportant des réponses concrètes aux questions qui se posent sur ces crimes.
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