La Farce du procès de la CPI contre le Président Laurent Gbagbo

« La Farce du procès de la CPI contre le Président Laurent Gbagbo » Ou la preuve du racisme, érigé en système, des esclavagistes Blancs contre les Noirs.

La Farce du procès de la CPI contre le Président Laurent Gbagbo
La Farce du procès de la CPI contre le Président Laurent Gbagbo

de Jean-Paul Pougala

(Leçon de Géostratégie Africaine n° 86 Partie 1/3 publiée il y a 4 ans, le 8 mars 2016)

Introduction

La torture que les noirs ont subie des blancs pendant 4 siècles de déportation dans les cales de bateaux comme des animaux a pris dans les livres d’histoire, la dénomination presque poétique de « traite négrière ». Par ce mot, on a humanisé ce qui est une atrocité animales que.

Le premier bateau qui a transporté nos ancêtres vers les Amériques s’appelait : Liverpool Merchant et il s’agit bien d’un bateau de guerre, qui le 3 Octobre 1699 a transporté 220 premières victimes africaines vers Barbados selon les preuves conservées au NATIONAL MUSÉUMS de la ville anglaise de Liverpool par où sont passés, officiellement 1,6 million de Noirs. Le plus grand crime de toute l’histoire moderne contre l’humanité ne s’appelle pas « Crime », mais « Traite ».

Un bateau de guerre ne venait certes pas pour négocier quoi que ce soit. Car pour négocier, il faut se parler, pour se parler, il faut pratiquer la même langue.

En quelle langue les bourreaux européens négociaient-ils la supposée « traite » avec leurs victimes africaines ? Je suis curieux de savoir comment ces champions du Négationnisme esclavagiste répondront à une telle question. Il s’agit d’un crime resté sans châtiment, d’un crime resté sans responsable.

Et nous sommes très vite passés à autre chose comme si le traumatisme de cette violence dont nous portons encore non pas les séquelles, mais la plaie ouverte, pouvait être oublié avec un coup de chiffon.

Et c’est parce que nous avons donné cette impression à nos bourreaux d’hier qu’ils se permettent aujourd’hui de changer la forme de torture et de choisir plutôt le symbole de notre puissance pour nous réduire à néant. C’est dans ce cadre que s’inscrit la farce du procès en cour à la Cours pénale internationale contre un chef d’État africain arrêté en plein jour dans son palais présidentiel comme le plus vulgaire des bandits. Du jamais vu !

Cette arrestation par la France d’un chef d’État africain avec un prétexte des plus farfelus de conflit post électoral, d’un pays africain qui ne lui a jamais demandé les comptes de son très lourd passé esclavagiste et colonial est un non-sens historique, avant même de dépasser toute logique cartésienne, tout entendement rationnel.

Durant cette crise, il y a un député français qui va faire une déclaration à la presse, ce député s’appelle François Hollande devenu ensuite chef d’État français. Il déclarait alors : « En Côte d’Ivoire il faut sévir contre un dictateur afin de donner une leçon à tous les autres dictateurs africains ».

Observez au passage que l’appellatif « dictateurs » est une exclusivité africaine. On parle de « dictateur africain », mais vous n’entendrez jamais de « dictateur asiatique », « dictateur américain » et bien sûr Hitler et Mussolini ne seront jamais appelé « dictateurs ». En tout cas, je n’ai jamais entendu le nom Hitler accompagné de l’Épictète « Dictateur ». On l’appelle le « Nazi » et son ami italien, le « Fasciste ». C’est nous qui croyons par erreur qu’il s’agit d’une insulte ou de deux appellations négatives. Mais non, puisque ce sont les qualificatifs que chacun de ces 2 personnages avait choisis pour se définir lui-même. Voilà que pour définir les personnages les plus odieux de leurs pays, ils choisissent plutôt des mots élogieux, qu’on fait passer pour négatif et jamais le mot « dictateur ».

L’expression « Biens mal acquis » est une exclusivité africaine comme à signifier que l’esclave est sous contrôle du maître et ne peut pas dépasser un certain seuil de possessions immobilières. En d’autres termes, on est en train de dire aux dirigeants africains de ne jamais oublier qu’après tout, quel que soit leur rang hiérarchique, ils ne sont que des esclaves. La preuve ? Un dirigeant politique Saoudien ou Qatari peut acheter toute une rue de Paris qu’on serait plutôt là à lui mettre le tapis rouge pour l’en remercier. Si c’est un Président africain, ce serait des biens mal acquis.

Un dirigeant Saoudien peut ordonner d’exécuter, de démembrer et de dissoudre dans l’acide un journaliste encombrant dans une Ambassade en Turquie, que de Trump à Macron, tous vont trouver des circonstances atténuantes pour ne pas condamner un tel crime odieux. Si c’était un chef d’État africain qui l’avait fait contre un journaliste africain, ce sont les esclaves de maison africains nichés à Paris qui monteraient très vite au créneau contre leurs propres frères africains afin de démontrer au maître qu’ils veuillent bien, sur les autres esclaves, afin que personne n’émerge de la soumission.

Pourquoi le procès contre le président Laurent Gbagbo est une farce ?

Pour répondre à cette question, nous devons faire un effort d’entrer dans la tête de ceux qui l’ont kidnappé et l’ont fait envoyer en séquestration aux Pays-Bas grâce à leurs suppôts locaux. C’est quoi le droit selon le modèle pompeux de ces États dits des « grandes démocraties » ? Nous avons besoin de passer par des penseurs européens à l’origine de ce système pour prouver que ce qui se passe à la Haye est un pur cirque avec le résultat écrit d’avance par des esclavagistes Blancs qui veulent rabaisser les Noirs toujours plus et à chaque fois que l’occasion se présente. Nous ferons ensuite un tour dans les principaux conflits du moment déjà conclus ou en cours pour lesquels ces esclavagistes Blancs n’utilisent pas la même sévérité, encore moins la même méchanceté pour lire les évènements que lorsqu’ils ont à faire aux Noirs. Et comme durant la triste période de déportation de nos ancêtres, ils ne le font qu’avec la complicité de quelques-uns d’entre nous.

Emmanuel Kant

Il nait en 1724 à Königsberg et meurt dans la même ville allemande (à l’époque, la Prusse orientale) en 1804.

Dans l’Introduction de son livre « Métaphysique des mœurs, Doctrine du droit », Kant définit le droit comme étant « l’ensemble des conditions sous lesquelles l’arbitre de l’un peut être uni à l’arbitre de l’autre selon une loi universelle de la liberté. » Dans « Théorie et Pratique », il ajoute une deuxième définition du droit : « Le droit est la limitation de la liberté de chacun à la condition de son accord à la liberté de tous, en tant que celle-ci est possible selon une loi universelle ».

Dans les deux définitions, Kant revient inlassablement sur un concept : « liberté universelle » pour tous, avant d’évoquer le principe même de droit. Or pour qu’il y ait une liberté universelle, il faut une parité de moyens pour y accéder, entre riche et pauvre, faible et puissant, etc. À La Haye, nous avons l’arbitre des Blancs qui ne s’est accordé nullement avec un quelconque arbitre des Noirs et s’auto-désigne comme l’incarnation du droit. La procureur de la République qui pour être désignée à ce poste s’est rendue à Paris pour faire campagne, pour ce motif, ne peut pas être considérée comme l’arbitre de l’Afrique. Elle est bien là parce qu’elle a fait les yeux doux à la partie adverse. Selon Kant, ce qui se passe à La Haye ne peut pas être du droit. Mais un cirque, une farce.

Comment Kant arrive à une telle déduction ?

Il tombe sur les écrits d’un penseur britannique de son époque : David Hume (1711-1776). Hume est un penseur, mais il évite soigneusement de passer pour penseur, parce que le pouvoir politique de l’époque a trop peur de lui, qui vient d’une famille de juristes pour remettre en question tout le système. Voilà pourquoi toutes ses demandes pour enseigner à l’Université seront rejetées et il mourra sans jamais avoir enseigné sa pensée au moindre étudiant. Son livre : « Traité de la Nature humaine » est passé sous silence par la critique. C’est un vrai fiasco en librairie. Pour contourner l’hostilité à son égard, Hume, passe alors pour un historien. Entre 1754 et 1762, il va écrire les 6 tomes de « Histoire de la Grande-Bretagne ». Alors qu’il a toujours bien pris soin de ne pas toucher à la religion, pour ne pas subir la foudre du clergé et de ses concitoyens, il demande que son livre autobiographique et surtout son livre « Dialogue sur la religion naturelle » ne soient publiés qu’après sa mort. Hume meurt en 1776. Sa famille publie ses derniers livres. Kant en entre en possession. Il en est à ce point émerveillé qu’il va déclarer que « Hume m’a réveillé de mon long sommeil dogmatique ».

Mais qu’est-ce qui était si fort dans les écrits d’Hume, pour réveiller un grand professeur comme Kant ?

Hume lui enseigne que nous ne devons croire que ce que nous avons de bonnes raisons de croire. Pour Hume, tout ce que nous croyons savoir est un mélange entre l’impression et nos idées. Et l’impression est une simple perception des choses en fonction de notre entourage, de notre vécu, de nos expériences.

À cela, il faut ajouter la perception interne que sont les émotions. Mais pour Hume, nous sommes capables tout de même de contrôler l’ensemble si et seulement si nous y ajoutons une complexité de la pensée. Ceci doit nous permettre pour toute idée que nous avons de remonter à l’impression qui l’a générée. Kant s’en sert, pour sa théorie sur le droit.

En effet, c’est bien parce que chacun a sa propre perception interne et externe que pour harmoniser la complexité de la pensée, il faut absolument que l’arbitre du riche s’unisse à l’arbitre du pauvre, que l’arbitre du faible s’unisse à l’arbitre du puissant dans le respect d’accepter tous les deux de limiter la liberté de chacun pour faire triompher la liberté de tous, selon une loi qui peut s’appliquer partout.

La perception interne (émotion) et externe (impression) des Africains n’est pas la même que celle ressentie par les Européens, parce que nous n’avons pas les mêmes expériences, encore moins les mêmes pensées qu’elles soient simples ou complexes. Voilà pourquoi un tribunal créé par les Européens pour juger des Africains pour des faits qui ont eu lieu en Afrique est une véritable aberration. C’est un acte de racisme pur et dur.

C’est ce qui explique que les crimes dans le monde entier n’ont pas le même châtiment. Par exemple en France, un homme qui tue son épouse, se retrouvant devant des juges hommes, s’en sortira avec 7 ans de prison avec toutes les circonstances atténuantes avec des mots laudateurs comme « crime passionnel », alors qu’aux États-Unis d’Amérique ou en Chine, ce meurtrier serait condamné à mort. Point besoin d’aller trop loin.

Prenons 2 pays aussi proches que possible de La Haye, 2 pays du Benelux : les Pays-Bas là où est séquestré le président Laurent Gbagbo et la Belgique.

Selon, M. Aebi et N. Delgrande, dans « Council of Europe Annual Penal Statistics—SPACE I. Survey 2007, Strasbourg, Conseil de l’Europe, 2009 », p. 62 (tableau 9), en 2007 en Hollande, il n’y avait que 33,1 % des personnes condamnées à des peines dépassant 3 ans alors qu’en Belgique c’est bien 83,7 % des prisonniers qui étaient en prison condamnée à de lourdes peines.

Peut-on en déduire que les Belges sont plus criminels que les Hollandais ? Bien sûr que non. La réponse vient de Kant qui nous dit que le droit n’est au fond qu’un compromis entre deux parties adverses, entre l’arbitre du criminel et celui de la victime. Aux Pays-Bas, ce compromis permet de tenir en prison pour de lourdes pertes, seulement 33 % des prisonniers alors qu’on a un taux presque 3 fois plus grand en Belgique où la perception interne et externe donne droit à un autre résultat.

À leur tour, mais sur la même lancée, Fr. Dünkel et S. Snacken dans leur livre intitulé « Les prisons en Europe » publié en 2005 chez L’Harmattan, Paris nous font remarquer que les Pays-Bas jusqu’en 1984 n’avait que 31 détenus pour 100 000 habitants alors que la Belgique avait 72 prisonniers pour 100 000 habitants. Mais avec les évènements du 11 septembre 2001 aux USA, l’assassinat du leader populiste Pim Fortuyn en 2002 et l’assassinat de Théo Van Gogh en 2004 vont changer radicalement la perception interne et externe des néerlandais et ils vont éprouver une telle haine anti arabe que le droit va complètement changer dans sa sévérité. Le taux d’incarcération va ainsi passer de 31 % à 100 % en 2003 et 113 % en 2007. Tout est question de la perception d’un peuple à un moment donné.

Pour avoir le droit, il faut donc avoir en même temps un peuple dont les variations de la perception à travers les années vont déterminer quel type de justice on crée pour les fautifs.

La Cour Pénale Internationale qui juge le président Laurent Gbagbo est le compromis entre l’Europe le bourreau des africains et elle-même qui s’érige en juge pour éviter de figurer un jour sur le banc des accusés de la longue liste de violences et de souffrances qu’elle a perpétrées contre l’Afrique, de la guerre de l’indépendance en Madagascar à celle d’Algérie en passant par le Cameroun, rien que pour la France. Le Guide Libyen avait réussi à amener l’Italie à se repentir de son passé colonial avec une indemnité de 5 milliards d’Euros en plus de la construction d’une autoroute côtière reliant l’est et l’ouest du pays. La suite, on la connait : le bourreau pour ne pas payer cette dette a préféré aller détruire le pays de sa victime et aujourd’hui, la Libye est devenue la terre des terroristes de tout bord.

CONCLUSION PARTIELLE

Le cirque du procès bidon contre un chef d’État africain en exercice est là pour satisfaire à quel intérêt de l’Europe ? Je suis certain qu’eux-mêmes ne le savent pas. Et que dire de la coïncidence de l’ouverture de ce pseudo procès et la mainmise de la Chine sur la plus grande entreprise européenne de semences Sygenta avec une enveloppe de 43 milliards de Dollars ?

C’est-à-dire qu’au moment où la Chine annonçait au monde d’être celle qui va demain décider de quel genre de courgette les européens auront dans leurs plats, de quels pesticides ils retrouveront dans leur vin Bordeaux ou sur leurs fraises, les européens étaient hors-sujet, en train de perdre du précieux temps avec nous qui ne comptons rien, dans un procès sans aucun enjeu, sans le moindre impact stratégique sur la montagne de problèmes de chômage et de misère urbaine qui hantent en ce moment l’Europe. C’est un peu comme une équipe de football est en train d’encaisser des cartons de buts à domicile et plutôt que de s’entrainer pour éviter que cela deviennent un rituel macabre, passe son temps à crier fort sur les petits joueurs de l’interquartier qui de toutes les façons, n’avaient aucune intention de passer en série.

L’Europe est comme cette personne qui au moment où on cambriole sa maison, est tellement occupée à torturer le chat du voisin et salir sa pelouse qu’elle semble ne rien entendre du bruit du déménagement de ses propres meubles. Au moment où l’Europe perdait le temps pour humilier le président Laurent Gbagbo à La Haye, les agriculteurs bretons occupaient les autoroutes françaises pour protester contre la faillite de leur secteur d’activité, mais au même moment, la Chine tordait le bras à Monsanto devenait l’entreprise qui le plus allait décider depuis Pékin de ce que ces agriculteurs devront désormais cultiver.

La Sygenta en 2013 a obtenu de la part des politiciens super-corrompus de Bruxelles, le droit de breveter un genre de piment bio qui était cultivé depuis des centaines d’années en Europe. En ce moment, ils croyaient se faire corrompre par l’insoupçonnable Suisse. Et maintenant que c’est un pays communiste qui prend le relai, change toute la donne. Mais shuttt !!! En Europe, cela semble n’intéresser personne. Ils ont certainement plus à gagner dans notre championnat d’Inter Quartiers à humilier les Africains.

Un nouveau jour est en train de se lever et sort finalement les Africains de la longue nuit de la violence européenne.

La Chine, l’Inde, le Brésil et la Russie sont là pour apporter un correctif d’un monde injuste et violent que ses inventeurs semblaient utiliser pour nous tenir en laisse. La jeunesse africaine a la chance d’assister en direct au cinéma à travers lequel l’Occident est en train de montrer son vrai visage à La Haye, de nous donner les leçons sur les droits de l’homme et de nous prouver là à l’inverse qu’il est incapable de l’appliquer à leurs victimes africaines. De longues années de détention provisoire c’est-à-dire, sans procès, pour soi-disant faire la justice pour des morts africains de la crise postélectorale de 2010. Chaque Africain qui assiste à ce cirque doit se poser une question très simple : les morts 1200 africains de Côte d’Ivoire sont-ils plus importants aux Européens que les 5000 morts européens de la crise politique en Ukraine ? Et si la réponse est non, pourquoi n’y a-t-il pas un procès pour apporter la justice aux morts ukrainiens ? Et que dire des tueries que fait Israël en Palestine ? Cette dernière est pourtant même de la Cour Pénale Internationale.

La vérité est qu’il n’y a aucun procès à La Haye, mais un vrai cirque utilisé comme prétexte pour montrer à tous les noirs d’Afrique que même si l’Europe est en déclin, elle reste toujours la maîtresse de l’Afrique et peut décider à tout moment de quelle rébellion naitra dans quel pays et pendant combien de temps. Le cas de la Côte d’Ivoire doit faire réfléchir ceux qui ont le cerveau pour le faire.

QUELLES LEÇONS POUR L’AFRIQUE ?

La torture que subit le Président Laurent Gbagbo durant ces 5 années de séquestration et de détention provision est un martyr pour tout Africain capable de prendre conscience des vrais enjeux du monde. C’est pour nous tous qu’il porte le poids de cette humiliation.

Nous pouvons décider de tourner la tête ailleurs pour ne pas voir ce qui se passe sous nos yeux, et tenter de vivre dans un monde virtuel dans lequel le Noir serait respecté comme simple humain. Mais, notre silence face au sadisme occidental d’un procès qui n’avait pas droit de se tenir, parce que si un chef d’État est responsable de ce que fait son armée, Georges Bush et Barack Obama devraient répondre en premiers de toutes les tueries des Marines en Irak et en Afghanistan.

Cela voudrait dire qu’il faudrait revoir toutes les théories sur la responsabilité individuelle et collective de tous ceux qui incarnent l’autorité politiques et administrative devant les crimes avérés ou supposés de l’armée sous leurs responsabilités. Mais cela ne peut pas se limiter qu’à l’Afrique.

Commençons donc par l’Ukraine où à ce jour, personne ne sait qui a abattu un avion de ligne Malaisien au-dessus de ce pays en guerre civile, alors que les Américains nous avaient promis les photos de leurs satellites-espions. Mais rien de tout cela se fera parce que ce ne sont pas les Noirs qui sont les acteurs sur ce théâtre de guerre.

À quand un procès international contre Daesh (l’État islamique) ? Shutt !!! Il ne faut pas parler trop fort, leurs crimes sont moins importants que ceux dont est accusé sans vergogne le président Laurent Gbagbo.

Mais ce pseudo procès aura pour le moins le mérite de réveiller de leur long sommeil dogmatique ces africains qui croyaient naïvement à l’universalisme du droit.

Jean-Paul Pougala (Sardinard de Laurent Gbagbo)

Batié le 8 Mars 2016 (Re-publié le 22 août 2020)

Source: https://www.facebook.com

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